โ sentiment de détresse โ peur โ anxiété โ stress élevé โ sentiment de culpabilité โ sentiment d’humiliation โ isolement โ symptômes dépressifs โ pensées suicidaires โ gain ou perte de poids | โ maux de ventre ou de tête โ détérioration de l’état de santé général โ perte de confiance et d’estime de soi โ difficultés d’apprentissage โ problèmes de concentration โ absences de l’école โ décrochage scolaire โ exclusion sociale โ actes de délinquance |
Personne ne devrait se sentir de trop, être angoissé(e) d'aller au bureau, à l'école, ou même à la maison... de peur d'être intimidé(e). Mobilisons-nous pour que ça arrête. Levez-vous, dites "Non" à l'intimidation! Créons, ensemble, une vague d'amour et de gentillesse.
L'origine de la Journée du chandail rose :
Au cours des premiers jours d’école de septembre 2007, à la Central Kings Rural High School en Nouvelle-Écosse, un élève de 9แต année est victime d’intimidation et menacé de violence physique parce qu’il porte un chandail rose. Entendant cela, Travis Price et David Shepherd, deux élèves de 12แต année, décident de prendre les choses en main. Ils en parlent à leurs amis et, le lendemain, une distribution de 50 chandails roses a lieu dans le hall d’entrée de l’école.
Ce geste haut en couleur contre l’intimidation a rapidement fait boule de neige dans des écoles partout au pays. En quelques années, cette initiative a inspiré des « Journées roses » un peu partout dans le monde et a attiré l’attention sur le besoin de créer des environnements sécuritaires pour tous.
Statistiques :
Il existe de nombreuses formes d’intimidation : les moqueries, la destruction des biens d’autrui, ou encore la cyberintimidation, ce qui comprend la publication d’informations blessantes sur Internet.
Parmi les 10 formes d’intimidation évaluées en 2019, celle qui a été la plus souvent déclarée par les jeunes de 15 à 17 ans consistait à être la cible de moqueries ou d’insultes (59 %). Un peu moins des trois quarts (70 %) des jeunes de 15 à 17 ans ont déclaré avoir subi l’une de ces 10 formes d’intimidation à diverses fréquences. Cependant, une plus grande proportion de jeunes transgenres ou non binaires ou qui éprouvent au moins une certaine attirance pour des personnes du même genre (77 %) ont déclaré de telles expériences comparativement aux jeunes cisgenres attirés uniquement par des personnes d’un genre différent (69 %). (Source : Statistique Canada)